Commentaires
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Réponse @M.Prieur:
Vous prêchez un convaincu !!! Oui il y a de très jolis coins en dehors des circuits touristiques en France. Et on prend même beaucoup de plaisir à visiter certains "immanquables" habituellement noirs de monde dès lors qu'on s'y rend hors période de vacances (là comme ça je pense à St Tropez ou l'île de Ré mais il y en a plein d'autres) -
Encore un beau reportage sans concessions. Merci !
Ceci dit, nous qui revenons de Cavalaire- sur -mer, Vous avez, en France, aussi, quelques beaux petits coins de paradis, en dehors des endroits très touristiquement commerçants. -
Réponse @Aurélie:
Oui Aurélie, il ne faut pas hésiter pour ce futur voyage au Mexique. J'en garde globalement un excellent souvenir. Mais j'imagine que, puisque tu résides à La Réunion désormais, tu seras plus attirée par les pays africains pour tes prochaines vadrouilles. -
Réponse @Isabelle:
Ah zut, effectivement, le lien qui m'avait été gentiment transmis par "Church" ne fonctionne plus. Du coup je l'ai retiré de l'article (grand merci quand même Churchy).
Le tourisme de masse n'est effectivement pas une spécificité mexicaine, loin s'en faut. Mais ici ou ailleurs ça me choque toujours beaucoup quand un pays oublie ses racines et sa culture pour faire de l'argent. A proximité de Cancun (et un peu plus au sud), ce qu'il reste de mexicain c'est la mer, le sable, le soleil. Et puis c'est tout. C'est dommage. Je ne pense pas que le tourisme de masse ait à ce point altéré (localement) une culture en France ni peut-être même en Europe (bon...certains coins des Baléares sont très limites).
Bon déménagement -
Bacalar semble bien agréable, tout comme Holbox... J'aime beaucoup la dernière photo. Ta série mexicaine m'a confortée dans l'envie que j'ai de découvrir ce pays... un jour sans doute ! Des bises :-)
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Bacalar donne bien envie d'y aller! Heureuse d'apprendre qu'au Mexique, il n'y a pas que la Corona. Par contre, votre lien sur les images de cenotes ne fonctionne pas sur mon ordi (indique "internal error"). Quant au tourisme de masse, américains ou autres, je ne pense pas que cela soit spécifique au Mexique: on retrouve cela un peu partout hélas! Vous l'avez, sans doute, vous-même constaté tout au long de votre périple. Même là ou je vis: "dans le trou du cul du monde", comme le dit ma fille: environ 50 habitants à l'année, éparpillés entre le village et ses alentours, l'été c'est l'enfer et de pire en pire!( et je vous épargne les détails): d'où notre déménagement dans un endroit plus paisible début juillet prochain.
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